Moins de stress, plus de mollets : le vélo de fonction a-t-il tout bon ?

Mise à jour: 26 mai 2025

C’est peut-être la meilleure idée QVCT qu’on ait testée cette année et… elle tient sur deux roues !

Soyons honnêtes : la to-do list RH de 2025 ressemble à un open space un lundi matin de rentrée. Des notifications dans tous les sens, des demandes urgentes qui s’empilent, et pas assez de café pour garder la tête froide. Alors quand on nous a parlé de vélo de fonction, on a levé un sourcil : une bonne idée de plus ou vraie solution QVCT ? Spoiler : on a testé et on a été bluffés.

Le vélo : l’arme secrète santé (et bonne humeur)

Quel outil peut à la fois booster la santé physique, la concentration, la productivité, la bonne humeur, tout en réduisant les arrêts maladies… et les embouteillages ?

Rouler à vélo chaque jour présente des avantages santé non négligeables, notamment sur la réduction des risques de pathologies graves. Selon une étude du British Medical Journal de 2017, pédaler quotidiennement diminue de 45 % les risques de maladies cardiovasculaires, de 30% le diabète de type 2 et de 15% le risque de cancer du sein.  Au-delà du rôle sur la santé physique il faut reconnaître un autre bienfait majeur au cycle : celui d’améliorer la santé cérébrale. Rouler à vélo favorise l’oxygénation du cerveau et déclenche la sécrétion d’endorphines, efficaces contre le stress. La vigilance portée à ce qui nous entoure tout au long du trajet stimule aussi les neurones et accroît les capacités cognitives ainsi que la mémoire. La pratique quotidienne du vélo permet une meilleure concentration et augmente la productivité individuelle de 6 à 9%. Elle serait également bénéfique en participant à la réduction des absences au travail. Selon un rapport remis à Elisabeth Borne, Ministre des Transports en 2017, les salariés cyclistes ont 15 % d’arrêt maladie en moins.

Et si vous vous demandez si vos équipes sont prêtes à pédaler : la réponse est oui ! 67 % des salariés souhaitent que leur entreprise s’investisse dans les nouvelles mobilités. Et, selon le baromètre des mobilités douces, réalisé par Zenride en 2024, 65% des Français accepteraient de troquer leur voiture pour se rendre au travail au profit d’un mode de déplacement non motorisé. Et roulement de tambour… Le vélo arrive en tête des solutions privilégiées.

Le vélo de fonction c’est vraiment une solution qui roule toute seule. Facile à déployer et déjà attendue par les équipes… et franchement, ça fait du bien de tomber sur une idée simple, efficace, et qui ne demande pas trois mois de comité pour démarrer.

Vélo et sécurité font-ils bon ménage ? On a enfourché la question

C’est sans doute la première chose qui vous vient à l’esprit. Entre les voitures trop pressées, les pistes cyclables encore incomplètes par endroits et les feux grillés à la volée, difficile d’imaginer ses équipes sereinement en selle. Et pourtant, la réalité évolue vite. L’essor des mobilités douces pousse les villes à repenser leurs infrastructures : plus de pistes sécurisées, plus de visibilité, plus de partage de la route. Mais au fond, ce n’est pas tant la sécurité qui freine l’usage du vélo au quotidien. Le vrai point noir, c’est la logistique.

Car oui, le principal obstacle à la pratique du vélo pour aller travailler, ce n’est ni la météo (quelques gouttes n’ont jamais effrayé un salarié motivé), ni les côtes un peu raides. C’est plutôt ce moment, juste avant de partir, où l’on se rend compte que le pneu est à plat, que le casque est resté chez soi ou que les freins crissent plus fort que la sonnette. Résultat : on abandonne. Pas par mauvaise volonté, mais parce qu’on n’a pas le temps de gérer.

Et c’est précisément là que CycloCare change la donne. On a testé leur service et, franchement, ça nous a convaincus. Cette solution ne se contente pas de fournir des vélos flambant neufs. Elle accompagne, elle rassure, elle prend en charge ce que personne n’a envie de gérer à 8h du matin. L’entretien, la révision et les réparations se font directement sur le lieu de travail, les équipements sont fournis, l’assurance est incluse, et des formations aux bons réflexes de sécurité sont proposées. En résumé : CycloCare anticipe tout ce qui pourrait faire décrocher vos équipes… pour que justement, elles ne décrochent pas.

Le résultat ? Une formule sans friction, zéro charge mentale. Le salarié n’a plus qu’à pédaler, l’esprit libre. Et pour les RH, c’est une solution sans casse-tête, sans complexité, qui s’intègre facilement et fait mouche dès les premières semaines. Un outil QVCT qui ne demande ni tableaux Excel, ni comité. Juste un peu d’élan.

Bonus : une vraie démarche RSE, sociale et écologique

Quand on parle RSE, il y a les grandes promesses… et les actions qui se mesurent. Et sur ce point, le vélo de fonction marque des points. Beaucoup de points.

Selon l’ADEME, 70 % des trajets domicile-travail font moins de 5 km. En clair, ce sont des trajets parfaitement faisables à vélo — et pourtant, dans 60 % des cas, on les fait encore en voiture. Résultat : le transport représente à lui seul près d’un tiers des émissions de gaz à effet de serre en France. Autant dire que chaque voiture en moins dans les bouchons du matin fait une vraie différence.

Adopter le vélo de fonction, ce n’est pas seulement cocher la case “mobilité douce” dans un rapport RSE. C’est agir concrètement sur l’empreinte carbone de l’entreprise, répondre aux attentes des salariés et s’inscrire dans la transition écologique sans attendre que la prochaine loi climat tombe.

Et puis, au-delà des chiffres, il y a ce petit changement de rythme, presque imperceptible, qui transforme le quotidien : moins de bruit, moins de stress, plus d’air frais dans les poumons. Bref, un impact écologique… qui se ressent aussi dans la tête.

Et parce que le vélo ne fait pas tout, parlons aussi de ceux qui le rendent possible. Derrière cette solution, il y a un projet social que l’on développera plus loin — mais disons simplement que choisir CycloCare, ce n’est pas seulement miser sur la planète. C’est aussi miser sur un projet social qui favorise l’inclusion et la diversité. Et ça, à la rédaction, ça nous a franchement donné envie d’appuyer sur les pédales.